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Alors qu’il pra­ti­quait la musi­que depuis de nom­breu­ses années, Urban Tag a du

s’éloigner du milieu artis­ti­que pour des rai­sons pro­fes­sion­nel­les. Un manque s’est peu à peu déve­loppé et, en 2010, l’artiste se tourne vers la pho­to­gra­phie qui appa­raît comme le mode le plus rapide et le plus simple pour s’expri­mer à nou­veau. Par ce médium, Urban Tag trouve des sen­sa­tions simi­lai­res à celles que lui pro­cu­rait le son, de part le rythme, l’har­mo­nie des cou­leurs, la répé­ti­tion, la dis­tor­sion et le choc des super­po­si­tions.

Son énergie créa­trice est telle qu’il sou­hai­te­rait pein­dre ou sculp­ter, mais ne maî­tri­sant pas ces tech­ni­ques artis­ti­ques, il passe par les pro­jec­tions, qui appa­rais­sent, pour lui, comme des toiles recou­ver­tes d’images. 


A ses débuts, ses créa­tions sont très figu­ra­ti­ves, por­teu­ses de mes­sa­ges forts qu’il appe­lait "écriture auto­ma­ti­que". Grâce aux nou­vel­les tech­no­lo­gies, il com­plexi­fie son tra­vail créant des images plus abs­trai­tes, plus pic­tu­ra­les.

L’être humain occupe le rôle prin­ci­pal de ses créa­tions, même s’il devient plus dif­fi­cile de l’iden­ti­fier. Réalisant tou­jours des pro­jec­tions figu­ra­ti­ves, l’artiste réa­lise également de plus en plus de pein­tu­res numé­ri­ques qui lui per­met­tent de mélan­ger com­plexité et sim­pli­cité, de mal­trai­ter l’image pour la rendre belle.

Inspiré par le bad painting, l'art naïf, l'art des fous, le cubisme, il s'essaie enfin à la peinture, acrylique, huile, bombe et matière. Il explore ce nouvel univers avec délectation

Depuis 2010, il expose régulièrement à Paris, Arles, Londres, Bruxelles, Chine, Canada, New York City et aussi Marseille, Reims, Bordeaux.


Urban Tag practiced music for many years but had to get away from the artistic community for professional reasons. A gap developed little by little and in 2010 the artist turned towards photography that appears as the fastest and simpler way to express himself again. Through this medium, Urban Tag finds similar sensations as music used to procure him, through the rhythm, the harmony of the colors, the repetition, the distortion and the shock of superimpositions.

 

His creative energy is such he would like to paint or do sculpture, but as he doesn't master these artistic techniques, he uses projections, that appear, for him, as canvases covered with images.

 

At his beginnings, his creations were very figurative, bearer of heavy messages that he called "automatic writing". Thanks to new technologies, he complicated his work by creating more abstract and pictorial images. The human being has always the main role in his creations, even if it becomes harder to identify. Always realizing figurative projections, the artist also realizes more and more digital paintings that allow him to combine complexity and simplicity, to mistreat the image to make it prettier.

Inspired by bad painting, naive art, the art of madmen, cubism, he finally tries his hand at painting, acrylic, oil, spray and material. He explores this new universe with delight

Since 2010, he exhibits regularly in Paris, Arles, London, Brussels, China, Canada, New York City and also Marseille, Reims, Bordeaux.



 

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